
Bracelet anti-GHB au Québec : une réponse face à la soumission chimique en hausse
Une menace grandissante dans les bars et festivals
Depuis plusieurs années, le Québec est confronté à une inquiétante montée des cas de soumission chimique, communément appelée « drogue du viol ». Ce phénomène touche particulièrement les bars, festivals et milieux étudiants, où des personnes rapportent avoir été droguées à leur insu.
Un reportage de la station FM104.7 souligne que la « drogue du viol est de plus en plus présente dans les bars et festivals » (écouter ici).
Ce qu’on sait au Québec
- SPVM 2025 : plus de 50 plaintes enregistrées à Montréal entre janvier et juillet 2025.
- Nouveau protocole 2023 : trousse urinaire légale disponible en urgence, acheminée au LSJML via la police.
- SQ (2015–2021) : rapports confirmant la présence régulière de GHB dans les interventions.
- INSPQ 2024 : étude sur 1 165 participants dans 12 régions → vigilance accrue en santé publique.
- Étude internationale 2022 : 18 % des répondants ont subi une soumission chimique, dont 50 % en bars/clubs et 3 % en festivals.
Ces données confirment que la soumission chimique est un enjeu croissant, encore largement sous-estimé car difficile à prouver : le GHB disparaît du corps en quelques heures, et beaucoup de victimes n’osent pas porter plainte.
Pourquoi la soumission chimique inquiète autant ?
Les substances utilisées sont souvent incolores, inodores et insipides, ce qui les rend indétectables :
- GHB/GBL : dépresseurs rapides, surnommés « la drogue du viol ».
- Kétamine : anesthésique détourné, provoque dissociation et confusion.
- Benzodiazépines : sédatifs entraînant somnolence et amnésie.
Leur association avec l’alcool accentue les risques : black-out, perte de conscience, vulnérabilité.
Le bracelet anti-GHB & Kétamine : une innovation pour le Québec
Face à cette menace, AMA Prévention propose une solution inédite : le bracelet de détection GHB & Kétamine.
- Test immédiat : une goutte de boisson suffit.
- Discret et portable : porté au poignet, il s’adapte à toutes les situations festives.
- Fiabilité éprouvée : développé avec Toda Pharma, n°1 du diagnostic rapide.
- Qualité médicale : certifié CE, conforme ISO 13485, fabriqué en France.
- Prévention collective : idéal pour festivals, bars et associations étudiantes.
Concrètement, ce bracelet permet d’agir avant l’ingestion, là où la détection médicale arrive souvent trop tard.
D’autres solutions AMA Prévention
Le bracelet est une première ligne de défense, mais AMA Prévention propose aussi :
- Capote de verre anti-soumission chimique : protection physique empêchant l’introduction de substances.
- Cartes tests DrinkSafe® : détection instantanée du GHB et de la kétamine.
- Tests salivaires Drugdiag® : dépistage rapide du THC, cocaïne, amphétamines, etc.
- Tests urinaires Drugdiag® : fiables et adaptés aux festivals, bars et entreprises.
- Éthylotests : prévention alcool au volant, solutions chimiques et électroniques.
Un enjeu de santé publique
La soumission chimique n’est pas seulement un risque individuel : elle soulève des enjeux de santé publique, de justice et de sécurité collective. AMA Prévention se positionne comme partenaire des bars, festivals et associations étudiantes, en mettant à disposition des outils éprouvés en Europe et adaptés au Québec.
Conclusion
Le phénomène de la soumission chimique est en forte progression au Québec, particulièrement dans les milieux festifs. Les données du SPVM et les nouvelles procédures hospitalières confirment la nécessité d’agir.
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